samedi 15 septembre 2012

Je ne sais pas si vous êtes nombreux et fidèles à suivre ce blog, mais je vous promets d'etre plus assidu désormais. Pour commencer, à l'heure des foires aux vins, je vous invite à courrir au Monoprix le plus proche de chez vous pour y acheter Le château Moulin d'Auguste. Depuis ma dernière connexion début 2012, j'ai commis un petit ouvrage :"Le marketing du goût" dans lequel je développe mon thème favori : le vin et son goût, et les enjeux économiques associés. Il est publié aux éditions Féret. Voici la couverture :
Et voici le commentaire lu dans le journal l'écho du 7 Septembre 2012 : "Chacun ses goûts" Il paraît-le poète Charles Cros l'a formulé dans le Coffret de Santal- qu'"on ne dispute pas des couleurs ni des goûts". Libre à chacun d'entre nous d'apprécier la valeur du propos, traduction du latin médiéval : "gustibus et coloribus non est disputandum". Ainsi formulé, cela fait plus sérieux. Pourtant, il ne faut pas grand clerc pour comprendre que notre goût "physiologique" est, de fait, imbriqué dans un ensemble de valeurs codées en évolution quasi permanente. L'homme est une être social, ne l'oublions pas. La baisse de la consommation du vin en France proviendrait elle-aussi!- d'une modification des valeurs sociales du goût orchestrées par un marketing efficace? A cette question, Nicolas Guichard, fort d'une longue expérience "marketing", tente de répondre de manière objective, en présentant une série de constats auxquels la filière vitivinicole se trouve confrontée. Car il ne suffit pas de faire du vin selon son goût et son amour du terroir, encore faut-il le vendre! L'auteur ouvre ainsi toute une série de pistes de réflexions qui intéresseront tous les amoureux de la dive bouteille. P.C. Merci à P.C. d'avoir compris le sens de mon message, iconoclaste pour certains.

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